Le SDAU de 2010 définit les grandes orientations de développement du territoire de la région du Grand Casablanca en plus de la commune de Mansouria pour un horizon de vingt ans, dans la perspective d’un repositionnement de la métropole sur le plan national et international, tirant parti des atouts de l’économie nationale dont elle constitue la locomotive mais aussi de ses potentialités propres. Le SDAU met ainsi l’accent sur la nécessité de :
En 1946, Michel Ecochard présente son nouveau plan d’aménagement qui, en incluant Mohammédia, se propose un développement linéaire le long du littoral atlantique, sous forme d’une ville industrielle, sur une longueur de 30 km de long.
Lors de l’examen, dans le cadre des Commissions Locales (CTL) et des enquêtes publiques, des projets des plans d’aménagement qui sont une traduction réglementaire des options du SDAU, la majorité des conseils élus et des propriétaires concernés ont remis en cause l’importance des surfaces réservées à cette trame verte, en considérant que celle-ci ne peut être réalisée sans la mobilisation par les communes de moyens financiers conséquents (acquisition, valorisation et entretien). Aussi, au cours des réunions des commissions centrales, habilitées à statuer sur les requêtes des citoyens et les doléances des conseils, il a été recommandé avec insistance de revoir la délimitation de la trame verte et des zones inondables sur labase des délimitations récemment réalisées par l’Agence du Bassin Hydraulique du Bouregreg et de la Chaouia.